Dans les cas graves (usure, faillites frauduleuses, non payement des contributions aux assurances sociales, …) les avocat-e-s peuvent saisir les juridictions pénales et obtenir la condamnation de l’employeur-euse.
Les avocat-e-s rédigent des requêtes à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) ainsi que des communications au Comité contre la torture (CAT) et au Comité des droits de l’homme de l’ONU (CDH).
L'étude assiste également des organisations non gouvernementales et des particuliers pour leur intervention auprès des organes des Nations Unies ou d’autres structures internationales de défense des droits fondamentaux.
Les avocat-e-s de l’étude interviennent également pour défendre les personnes faisant l'objet de mesures de contraintes (détention administrative et renvois forcés notamment) et disposent d’une expertise particulière s’agissant de la défense des personnes réfugiées victimes d’actes de torture ou autres mauvais traitements.
L'étude a un solide expérience dans la défense des locataires.
L’étude dispose d’une solide expertise dans la défense de victimes de mauvais traitements et actes de torture, ainsi que dans l’assistance à victimes de traite d’êtres humains et d’infractions pénales dans le domaine du travail.
Les avocat-e-s de l’étude assistent des personnes physiques ou morales visées par des procédures pénales intentées par les autorités judiciaires d’un Etat étranger et exigeant la collaboration des autorités suisses.
Les avocat-e-s de l’étude interviennent pour contester des sanctions disciplinaires devant les autorités administratives.